Si nécessaire, le gouvernement assouplira sa politique de manière ciblée pour empêcher un ralentissement trop prononcé de l’activité ou éviter une contraction trop forte de l’emploi, a expliqué le premier ministre.
La deuxième économie de la planète avait déjà terminé l’année 2014 à 7,4 % de progression de son PIB, son rythme le plus faible depuis 24 ans.