Les journalistes en grève fustigent l’absence de tout interlocuteur. Le directeur général d’Al Ittihad et de Libération qui n’est autre que Habib El Malki, le président de la chambre des députés ne s’occupe plus de la presse socialiste même s’il a gardé la main sur la presse socialiste en refusant toute délégation de signature.
Le personnel de la presse ittihadi a bien l’intention de ne pas s’arrêter au port du brassard. La prochaine étape de ce mouvement de grève est la non parution des deux quotidiens édités par la formation politique que préside Driss Lachgar.