Le PPS condamne les méthodes méprisables de médias algériens envers le symbole de la souveraineté de la nation
Dans un communiqué publié suite à sa réunion tenue mardi, le bureau politique condamne avec vigueur « les méthodes méprisables et ridicules, auxquelles recourent des caisses de résonance exploitées par certains milieux algériens aux abois, du fait de leurs débâcles répétitives, et ciblant le symbole de la souveraineté de notre nation et de l’unité de notre peuple ».
Ces agissements malavisés illustrent avec bassesse un manque de raisonnement et de moralité, affirme cet organe partisan, saluant, au même temps, la réaction mature de certaines voix algériennes qui rejettent le discours de haine et de division, ainsi que l’interaction spontanée et massive des différentes composantes du peuple marocain, pour défendre l’institution monarchique et préserver les bonnes relations entre le Maroc et l’Algérie.
Par ailleurs, le bureau politique a abordé les projets de lois organiques relatives aux institutions élues et aux partis, approuvés en conseil des ministres, le 11 février, notant avec satisfaction la prise en compte de certaines propositions présentées par le PPS, dans le cadre d’un mémorandum conjoint de l’opposition, tout en saluant les dispositions de ces projets qui constituent un pas de plus vers la consécration de la parité.
Réitérant son engagement en faveur de la mise à niveau du dispositif juridique encadrant les élections, au niveau de la concurrence loyale, de la probité et de la transparence, ainsi que la représentativité parlementaire des jeunes et des MRE et le pluralisme, le bureau politique a appelé à assurer les conditions à même de rétablir la confiance et assurer une large participation aux élections.
Le bureau politique a, de même, loué l’adoption par le conseil des ministres du projet de loi relatif à la protection sociale, conformément aux directives royales, affirmant qu’il ouvrera pour le succès de ce chantier, à travers des propositions relatives à la mise en œuvre optimale de ce texte.