"Nous restons prêts à poursuivre nos opérations", a dit Rasmussen, actuellement en visite au Royaume-Uni pour des entretiens avec les responsables britanniques.
Le responsable a, toutefois, concédé, que son organisation ne jouera aucun rôle en Libye après la fin du conflit. Il a, d’autre part, souligné que "des poches de résistance" existent toujours en Libye après la chute du régime du colonel Mouammar Kadhafi suite à un soulèvement de six mois.
Le Secrétaire général de l’OTAN a précisé qu’il ne dispose d’aucune information au sujet du lieu où pourrait se trouver l’ancien dirigeant libyen, notant que la capture de ce dernier ne sera pas un facteur clef pour l’avenir de la Libye.