Cité mardi par le quotidien grec kathimerini, M. Papandreou, a dit souhaiter s’appuyer sur un résultat favorable à l’euro pour continuer sa politique d’austérité drastique, appliquée à la demande des créanciers du pays, la zone euro et le Fonds monétaire international.
Les propos du premier ministre grec sont publiés au moment où que le ministère des Finances négocie âprement avec la troïka des créanciers du pays qui demandent de nouvelles mesures d’austérité (baisse du nombre de fonctionnaires, réduction des dépenses publiques) avant de verser la prochaine tranche de 8 milliards d’euros du prêt consenti en mai 2010 pour éviter la faillite du pays.