"Cette nomination témoigne de la relation étroite entre la France et le CNT et de l’engagement de notre pays aux côtés de la Libye nouvelle", a déclaré le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, Bernard Valero.
Il a estimé qu’elle s’inscrit dans "le prolongement de la reconnaissance du CNT" par la France "qui avait été le premier pays à le faire".
La France avait reconnu dès le 10 mars dernier le CNT, formé de l’opposition libyenne à Benghazi, en tant que "représentant légitime du peuple libyen", en lieu et place de Mouammar Kadhafi, avant de déclarer le 7 juin qu’elle le considère comme "le seul titulaire de l’autorité gouvernementale" en Libye.