La CPI a lancé lundi des mandats d’arrêt à l’encontre du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, de son fils Saïf al Islam et du chef des services de renseignement, Abdallah al Senoussi, pour crimes contre l’humanité.
Selon le ministère français des Affaires étrangères, "Il résulte de cette décision, d’une signification majeure, la confirmation que M. Kadhafi a perdu toute légitimité et qu’il est entièrement isolé. Il doit quitter le pouvoir et ne peut en aucun cas faire partie de la solution politique que la communauté internationale appelle de ses voeux pour la Libye nouvelle."
La France" appelle au plein respect des obligations internationales liées à la CPI", ajoute lundi un communique du quai d’Orsay.