Interrogé sur la chaîne Fox News, l’homme fort de l’ancienne administration a rappelé que plusieurs responsables du renseignement avaient assuré que "certains des premiers indices" (qui ont finalement conduit jusqu’à la cache du chef d’Al-Qaïda) provenaient des renseignements tirés notamment de suspects soumis à la simulation de noyade, considérée comme une technique de torture.