Lors du "vendredi de colère", les autorités égyptiennes avaient bloqué l’accès à internet, ainsi qu’aux téléphones mobiles et aux SMS.
L’internet et la téléphonie mobile avaient joué un r le important dans le déclenchement des manifestations en Egypte, organisées à l’appel du mouvement du 6 avril et d’autres organisations des droits de l’Homme via le réseau de socialisation Facebook.