Contactée par leJDD.fr, Marine Le Pen assure ne pas être choquée par cette nouvelle affaire embarrassante pour le gouvernement. "L’affaire de Michèle Alliot-Marie m’a choqué car sur le principe, cela créé une suspicion de double allégeance alors que, de par sa fonction, elle n’a de devoir d’allégeance que vis-à-vis de la France et des Français, assure la présidente du Front national. En revanche, qu’un Premier ministre français soit protégé et que soit mis à sa disposition des moyens de transport dans le pays où il se trouve ne me choque absolument