La Première Dame était restée silencieuse sur le site de micro-blogging depuis le 12 juin. Entre les deux tours des législatives, elle avait souhaité "courage" au dissident socialiste Olivier Falorni, qui maintenait sa candidature à La Rochelle face à la présidente de la région Poitou-Charentes, pourtant investie par le PS et soutenue politiquement par le chef de l’Etat, qui est par ailleurs le père de ses quatre enfants.
Lors de son interview télévisée le 14 juillet, le président Hollande avait assuré qu’il n’y aurait plus "aucune interférence" entre sa vie publique et sa vie privée. "Je considère que les affaires privées se règlent en privé et je l’ai dit à mes proches pour qu’ils acceptent scrupuleusement le respect de ce principe", avait-il expliqué.
Valérie Trierweiler, qui avait fait ce jour-là sa première apparition publique depuis le "twittergate", à l’occasion du défilé du 14-Juillet, est sortie ce dimanche de son silence numérique.
"Tout va bien chers amis", écrit-elle sur Twitter. "Magnifique discours du Président pour la commémoration de la rafle du Vel d’hiv. Très émouvant".
Tous les messages qu’elle avait rédigés durant la campagne présidentielle et les premiers jours du quinquennat Hollande ont disparu.