Selon l’agence de presse MENA, l’ancien chef des renseignements égyptiens a dit avoir décidé de ne pas se présenter à ces élections du fait qu’il n’ait pas pu arriver à surmonter les "obstacles liés à la situation actuelle".
Dans un communiqué, cité par l’agence, M. Soleimane a précisé que cette décision était motivée pour des raisons d’ordre administratives, financières et organisationnelles.
Pour se présenter officiellement à la présidentielle, les candidats devront d’abord obtenir le soutien de 30 députés ou 30.000 citoyens dans 15 gouvernorats.