Concernant les risques d’inégalités dans l’offre d’activités péri-scolaires proposées aux élèves, qui dépendent des ressources financières de chaque commune, le ministre a tenu à rappeler qu’une enveloppe de 250 millions d’euros a été prévue pour aider les villes qui n’ont pas les moyens de proposer un large panel d’activités. "C’est l’inverse de ce qu’on entend", a souligné Vincent Peillon, avant d’ajouter : "nous permettons à des villes de proposer des activités qu’elles n’avaient pas les moyens de proposer. On met de l’argent vers ceux qui n’en avaient pas".
