9e circonscription des Français à l’étranger: Leila Aichi ou l’investiture qui ne passe pas
L’investiture pour la 9e circonscription des Français à l’étranger de Leila Aichi par le MoDem sous la bannière du mouvement « En Marche! » ne passe pas. Dès son annonce hier, les réseaux sociaux se sont enflammés pour rappeler l’activisme et la propagande auxquels la sénatrice franco-algérienne de Paris se livre en faveur des séparatistes du Polisario.
« Laila Aichi a été investie à la demande de François Bayrou », a confié à Atlasinfo un proche du président élu Emmanuel Macron.
"Alors que nous commémorions hier l’abolition de l’esclavage, profitons de l’occasion pour rétablir certaines vérités historiques qui sont loin d’être évidentes pour tous à cette époque où l’on dresse en vertu la superficialité.
Juridiquement, il est vrai que la France a aboli l’esclavage dans les colonies par le Décret d’abolition du 27 avril 1848. Cela étant, on est en droit de se poser les questions suivantes : qu’est-ce qu’un esclave ? La réponse est tout a fait claire et simple à savoir chez Leila Aïchi. La franco-algérienne, sénatrice MoDem, investie par En marche, pour la 9ème circonscription des Français à l’étranger, elle qui roule pour le Polisario et ânonne tout les clichés bidons du pouvoir algérien, connait surement l’affaire remontant à 2007, de la jeune Sahraouie, Soltana Bent Bilal, qui avait déposé une plainte pour esclavagisme contre le chef de la pseudo RASD, Brahim Ghali et qu’en décembre 2008, un juge du haut tribunal de l’Audience nationale espagnole qui pris en main le dossier après une juridiction à Murcie (extrême sud), ensuite le convoquait pour entendre sa version.
Depuis, Brahim Ghali est immédiatement «exfiltré» d’Espagne. Elle qui s’est permis de favoriser l’entrée dans l’honorable institution parlementaire, le Sénat français, de mercenaires regroupés au sein du « Polisario » accusés par Human Rights Watch d’entretenir l’esclavage dans les camps de Tindouf et de recourir à la loi martiale pour museler les opposants, la sénatrice leur a donné ainsi une tribune de propagande pour critiquer l’action française et diffamer le Maroc, apportant en plus, une voix dissonante à la diplomatie française".