"L’affaire libyenne, nous n’en sommes peut-être qu’au début. Cette affaire peut durer longtemps", a prévenu Dominique de Villepin.
L’Elysée a déclaré vendredi que le président français pourrait se rendre rapidement à Benghazi, berceau de la révolte libyenne, peut-être avec le Premier ministre britannique David Cameron, à l’invitation du Conseil national de transition libyen (CNT). "L’Irak nous a montré le chemin, l’Afghanistan nous montre le chemin, ne jouons pas les fiers-à -bras, ne jouons pas les libérateurs", a-t-il lancé.
(Source JDD)