M. Jamil s’était déjà entretenu avec le ministre russe des Affaires étrangères le 3 août à Moscou, au sujet de l’assistance économique que pourrait porter la Russie à son partenaire de longue date. Aucun engagement ferme n’a, toutefois, été annoncé durant ces discussions.
Moscou reste le plus fort soutien du régime syrien et a opposé à trois reprises avec Pékin son veto à des résolutions du Conseil de sécurité menaçant Damas de sanctions.