"Je voudrais souligner que l’OTAN n’a aucune intention d’intervenir en Syrie, mais nous continuons de suivre étroitement la situation", a déclaré M. Rasmussen lors d’une conférence de presse.
"Ceci dit, nous condamnons avec fermeté la répression scandaleuse des manifestations en Syrie", a poursuivi le chef de l’OTAN, qui participait au séminaire du "Commandant suprême allié Transformation" (SACT), réunion préparatoire du prochain sommet de l’Alliance, prévu dans la mi-mai à Chicago.
Interrogé sur les raisons de la décision de ne pas intervenir en Syrie, M. Rasmussen a expliqué que la situation dans ce pays diffère du cas libyen, où l’OTAN avait reçu l’aval des Nations-Unies et le soutien des pays de la région pour intervenir.