La conférence prévue le 22 janvier à Genève, doit "préparer le terrain afin d’avoir des élections absolument libres et sans préconditions" a déclaré M. Rohani en marge d’une rencontre avec son homologue irakien Nouri al-Maliki, selon le site de la présidence iranienne (www.president.ir).
"Il est de notre responsabilité mutuelle de défendre les idéaux et les demandes du peuple syrien, spécialement durant Genève-2", a ajouté M. Rohani.
Régime et opposition ont affirmé leur volonté de se rendre à Genève en janvier, mais ils semblent irréconciliables sur la place réservée au président Bachar al-Assad dans une éventuelle transition négociée.
Le régime syrien a affirmé mercredi qu’il revenait au président Assad de mener la transition en cas d’accord à Genève. L’opposition politique et les rebelles refusent quand à eux toute présence de M. Assad dans la transition.