En déplacement au Japon, Nicolas Sarkozy aurait jugé "pathétique" la déclaration de candidature de François Fillon "mais pas autant que les rebuffades qui ont suivi", indique Le Figaro dans son édition du 12 mai. Jean-François Copé en prend pour son grade également : l’ex-président estime qu’il "fait fuir les talents de l’UMP" car il "verrouille le parti, mais il verrouille des pièces vides" précise-t-il.
