« Notre client, M. Dominique Desseigne, persiste à contester la véracité des attestations produites par Mme Rachida Dati », ont écrit dans un communiqué les avocates du PDG du groupe Lucien Barrière, Mes Michèle Cahen et Florence Rault.
Celle-ci a rejoint mardi la défense de M. Desseigne. « Il réfléchit, au vu de la motivation retenue par le tribunal de grande instance de Versailles, sur la suite qu’il entend donner à la procédure », ont-elles ajouté, sans donner plus de précision.
Assigné en « reconnaissance de paternité » par l’ancienne garde des Sceaux, le tribunal civil a ordonné mardi qu’une expertise génétique soit réalisée sur M. Desseigne et la petite Zohra, âgée de 3 ans.