"Ce n’est pas avec une image de ce type qu’on va juger le candidat éventuel des socialistes", a-t-il espéré au micro de Thierry Guerrier avant de rappeler que cette voiture n’appartient pas à DSK. "A force de parler de cette photo, je finis par me poser des questions. Est-ce que ce n’est pas parce que DSK fait peur qu’on ne cesse de parler de sujets, qui sont des sujets subalternes ?". Et d’ajouter que "chaque image volée comptera" dans le cadre de la campagne en vue de la présidentielle.
"On reproche à DSK quelque chose dont il n’est pas responsable en quoi que ce soit et qu’il ne lui est pas imputable. C’était, je pense, un cas de force majeure", a assuré Pierre Moscovici. Enfin, le proche de DSK a dit, avoir "l’impression qu’on essaye de détruire la réputation d’un homme".