Un porte-parole des rebelles estimait quelques heures plus tôt que les hommes du colonel libyen contrôlaient encore 15 à 20% de la capitale.
Le chef de la diplomatie italienne a ajouté que Mouammar Kadhafi n’avait plus le temps de quitter le pays et que sa seule issue était d’être jugé par la Cour pénale internationale à la Haye.
Si le "guide" libyen continue de résister, il sera responsable d’un éventuel bain de sang à Tripoli, a conclu Franco Frattini.