La mise sur pied de ce "réseau" est motivée par les évolutions dans le monde arabe en matière des droits de l’homme, à la lumière des soulèvements populaires dans plusieurs pays d’Afrique du nord et du Moyen orient, ont indiqué des participants à la réunion. Des responsables d’institutions de défense des droits de l’homme de Tunisie, du Maroc, du Qatar, d’Algérie, d’Egypte et de Jordanie, ont pris part à cette réunion qui avait débuté mercredi.