"Nous ne pouvons pas déléguer notre sécurité à un accord bilatéral où aucun Européen n’est partie prenante", a-t-il déclaré en recevant le secrétaire général de l’Otan Jens Stoltenberg à Paris. Il faut une "implication des Européens dans ce futur traité", a-t-il affirmé.
Le président français Emmanuel Macron a souhaité jeudi que les Européens soient associés au traité qui remplacera l’accord russo-américain de 1987 sur les Forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI), après la dénonciation de ce dernier par les Etats-Unis.