"La deuxième, c’est d’avoir une politique plus accommodante de la Banque centrale européenne. Plusieurs banques centrales le font – Japon, Etats-Unis –, est-ce que la BCE ne pourrait pas mettre plus de liquidité dans le circuit ?", s’interroge-t-il, avant de présenter son troisième point : "que les pays qui sont en excédent puissent encore plus augmenter leur croissance, comme l’Allemagne, pour tirer l’Europe. Je pense qu’on a besoin des trois dans un équilibre que les politiques doivent définir", a conclu Louis Gallois.

