Le projet permettra à terme de raffiner 140.000 barils par jour (bpj), « contribuant en un court laps de temps à réduire les importations et à couvrir la consommation locale » de carburants, notamment l’essence et le diesel, a précisé le ministre dans un communiqué.
Selon le ministère du pétrole, la production de dérivés pétroliers débutera début 2023.
Deuxième pays de l’Opep, l’Irak exporte en moyenne 3,3 millions de barils de brut par jour.