Dans un discours prononcé à Kassala, dans l’est, le chef de l’Etat soudanais, par ailleurs recherché par la Cour pénale internationale pour crimes de guerre au Darfour, a notamment affirmé": "Les forces qui sont entrées dans Tripoli étaient en partie armées par le Soudan". Mais il n’a pas donné de précisions sur le type et la quantité d’armes fournies aux rebelles du Conseil national de transition, aujourd’hui au pouvoir en Libye.
