Près de 13,5 millions d’électeurs sont appelés aux urnes pour choisir les 395 députés.
Interrogé par l’AFP sur le risque de voir le pays devenir islamiste, Khalid Naciri, ministre de la Communication et membre du Parti du progrès et du socialisme (PPS), a répondu: "Non. Le Maroc n’est pas la Tunisie. Il n’y a pas de danger islamiste. La Tunisie vient de découvrir le pluralisme politique" qui existe déjà au Maroc. "Le jeu n’a jamais été aussi ouvert (…) et le parti le plus puissant ne dépassera sans doute pas les 16 à 18%" des votes, a encore estimé M. Naciri.
Pour assurer la transparence du scrutin, 4.000 observateurs, marocains et étrangers seront présents.