Les priorités pour le Japon résident dans la mise en place rapide des dépenses de reconstruction et dans l’adoption d’un solide plan à moyen terme pour réduire sa dette publique, a indiqué Mme Lagarde dans un communiqué.
La dette publique de ce pays équivaut à environ 200 % de son produit intérieur brut (PIB). Mais le Japon reste cependant pour l’instant à l’abri des tensions pesant sur les pays européens, car sa dette étant possédée à plus de 95 % par des investisseurs nippons, et parce que le Japon dispose des deuxièmes réserves de change mondiales.