"Nous avons connu en 2004 des événements douloureux. Les Ivoiriens n’ont pas oublié, ils ont pardonné. Nous avons décidé de fermer la page, mais nous disons à chacun de bien lire ce qui est écrit sur cette page avant qu’on ne la referme", a-t-il ajouté, appelant les "Forces impartiales" à être "véritablement impartiales".
Deux semaines après la présidentielle du 28 novembre, la Côte d’Ivoire restait dimanche plongée dans une crise institutionnelle sans précédent avec deux chefs d’Etat proclamés, le sortant Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara, reconnu par une communauté internationale quasi-unanime comme le président légitime.