Vingt des personnes exécutées sont "des membres d’Al-Qaïda" ou "des terroristes", a précisé le ministère. Les trois autres ont été exécutés en raison d’actes criminels qui n’ont pas été définis.
Les exécutions se sont déroulées les 22 et 26 septembre et sont généralement faites par pendaison.
Ceci porte à au moins 90 le nombre de condamnés exécutés depuis début 2013, en dépit des appels répétés de la communauté internationale pour la mise en place d’un moratoire sur la peine de mort.
En 2012, l’Irak avait exécuté 129 personnes.
L’Onu et plusieurs organisations des droits de l’Homme, notamment Amnesty International et Human Rights Watch, ont à plusieurs reprises appelé les autorités irakiennes à la mise en place d’un moratoire sur la peine capitale, une demande qui a été toutefois rejetée par les autorités.
