C’est donc un moment important, ce n’est pas le moment décisif", a-t-il jugé.
François Hollande a par ailleurs assuré ne pas s’entraîner face à un sparring-partner qui jouerait le rôle de Nicolas Sarkozy. "Il n’y a pas à simuler, à préparer d’une façon qui serait une répétition. Il y a des arguments que l’on connaît, auxquels il faut répondre", a-t-il affirmé, assurant que "les meilleures formules choc sont improvisées." Quant à savoir comment il nommerait son rival : "d’une certain façon, il est à la fois le candidat sortant, le président, et Nicolas Sarkozy. Il est les trois à la fois. Ça ne durera pas. A un moment, il y a des étiquettes qui vont tomber. Il restera Nicolas Sarkozy."