
Cette conviction tient au fait que vendredi après-midi, les trois chiens appartenant à la brigade cynophile des pompiers et des gendarmes ont chacun "marqué" la fin de la piste du petit Enzo sur le pont qui enjambe la Meuse. Une thèse à laquelle ne croit pas son grand-père, qui évoque un cambriolage perpétré dans une maison toute proche. "A priori ce sont ces gens-là qui auraient kidnappé mon petit-fils, c’est comme ça que je le sens", explique t-il à RTL, avant de leur lancer dans un sanglot : "Dites-moi combien vous voulez, je suis prêt à payer mais je veux mon petit-fils".