Cette opération d’envergure a valu à environ 1.600 migrants d’être envoyés en centre de rétention, en attendant leur expulsion.
Les partis de gauche ont, pour leur part, dénoncé l’opération, tandis que le Haut commissariat de l’ONU aux réfugiés (HCR) a exprimé son inquiétude du fait que les demandeurs d’asile et les migrants venus de pays en guerre puissent se voir refuser l’asile.
