"Je ne peux imaginer qu’un échange de dette ait lieu avant le référendum", a-t-il dit à la presse. Il a précisé que les préparatifs suivaient leurs cours mais qu’aucune mesure définitive ne devait être prise avant le référendum.
Il a ajouté s’attendre à une large approbation par les créanciers privés d’une décote accrue sur la dette grecque.