Les deux rivaux pour la présidence du premier parti d’opposition s’étaient accordés mardi sur l’idée de ce référendum interne, premier signe d’apaisement dans leur bras de fer (voir ).
"La ligne rouge a été franchie, j’en tire les conséquences", a dit Jean-François Copé, dont l’élection à la tête de l’UMP est contestée par François Fillon. "Je considère que les conditions ne sont pas réunies."
"A partir du moment où il y a un groupe parlementaire publié au Journal officiel, dissident, c’est-à-dire exactement l’inverse de ce qu’on a évoqué, je crois que chacun maintenant comprend ce qu’il faut comprendre", a-t-il ajouté sur Europe 1.
Interrogé sur la suspension par Jean-François Copé de ce projet de référendum interne, Henri Guaino, qui l’avait soutenu pendant sa campagne, a répondu sur iâTélé : "Je le déplore."