Quant au message de son épouse Anne Sinclair, qui ne souhaite pas qu’il brigue un second mandat à la tête de l’institution internationale, DSK estime que "ce problème ne se pose pas. Aujourd’hui, j’ai au jour le jour des choses à faire".
"Je ne suis que le directeur général du FMI", a-t-il encore insisté. Dominique Strauss-Kahn a également répondu aux attaques dont il a fait l’objet de la part de plusieurs responsables de l’UMP : "ce qui m’indigne, c’est qu’il y a mieux à faire pour les responsables politiques que de la polémique. Leur temps, ils doivent le consacrer à résoudre les problèmes des gens".
Dominique Strauss-Kahn a aussi fait savoir que "la rencontre avec les Français, avec [ses] compatriotes" lui manquaient. "Les sondages et autres choses, je ne m’y consacre pas trop. Ce n’est pas mon métier, ça n’est pas ce que j’ai à faire aujourd’hui", a poursuivi le patron du FMI. "Je suis un homme plus libre que je n’ai jamais été", a ajouté DSK.