
L’objectif est que cet accord, dont la nature juridique exacte devra encore faire l’objet de discussions, est qu’il entre en vigueur à l’horizon 2020.
Le but de la communauté internationale est de limiter la hausse de la température de la planète à +2°C.
L’addition des promesses des différents pays en termes de réductions d’émissions ne permet cependant pas, loin s’en faut, d’atteindre cet objectif.
Selon une étude présentée cette semaine à Durban, le monde est engagé sur la voie d’une hausse de 3,5°C du thermomètre mondial.