Même s’il juge qu’"en politique, il n’y a pas de romantisme", le président de la commission électorale juge toutefois "un peu frileux" les pays européens vis-à-vis de l’évolution de la situation en Tunisie. La France, elle, "essaie de se rattraper un peu après des positions qui ont beaucoup déçu les Tunisiens", a aussi estimé le responsable.
Toutefois, a insisté Yadh Ben Achour, "c’est un problème tunisien", et c’est aux citoyens du pays de réfléchir à leur avenir et de contribuer à la stabilité politique.