A l’instar de l’Espagne, Paris a obtenu vendredi un sursis de deux ans, soit jusqu’en 2015, pour atteindre ses objectifs budgétaires alors que la Commission européenne table sur une récession cette année en France et prévoit un dérapage de ses déficits contribuant à une hausse inquiétante du chômage. Mais, pour le ministre "une chose est déjà claire : nous ne pouvons pas abandonner le chemin des réformes".

