La résolution, adoptée à l’unanimité de ses 15 membres, prévoit de "nouvelles sanctions financières" en vue d’empêcher Pyongyang de poursuivre ses ambitions nucléaires et balistiques.
Dans une réaction à l’adoption de ces nouvelles mesures, le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, s’est félicité de cette résolution qui alourdit les sanctions internationales contre le régime communiste.
Le Conseil a "envoyé un signal sans équivoque à la Corée du Nord l’avertissant que la communauté internationale ne tolérera pas qu’elle poursuive" ses programmes nucléaire et balistique, a-t-il dit.
La nouvelle résolution met également sous surveillance les diplomates nord-coréens et ajoute sur une liste noire plusieurs particuliers ou entreprises soumis à des gels d’avoirs et des interdictions de voyager.
Ces mesures s’ajoutent à une série de sanctions prises à l’encontre du régime communiste depuis qu’il a mené son premier essai nucléaire en 2006, suivi par un deuxième en 2009 et un troisième le 12 février dernier.