Certains de ses collègues sur le site lui apportaient de la nourriture, communiquant avec un mot de passe, ce qui lui a permis de survivre. "Quand les militaires algériens, que je remercie, sont venus me chercher, je ne savais même pas que c’était fini. Ils étaient avec des collègues, sinon je n’aurais jamais ouvert", se rappelle-t-il."J’avais peur, je me voyais déjà finir entre quatre planches", confie-t-il.
Selon le rescapé, il pourrait y avoir d’autres otages cachés sur le site, encore assailli par l’armée algérienne. "Après m’avoir libéré, l’armée a même découvert des otages britanniques dans les toits", se souvient Alexandre Berceaux, selon qui personne ne les avait prévenu d’un éventuel regain de menace terroriste.