Cette évaluation "tient compte d’une part des pressions à court-terme sur les réserves, des troubles politiques, d’une situation financière faible et en dégradation, d’une évasion de capitaux, et d’autre part de notre supposition que le programme du FMI sera en place" après les élections législatives attendues ce printemps"
Selon Fitch, la position financière de l’Egypte s’est aggravée en raison dépenses de subventions, du paiement des intérêts, de la hausse des salaires du secteur public et d’une économie faible qui affecte les revenus.
Dans le même temps, "une pénurie de devises a poussé les autorités à resserrer leur contrô le sur les capitaux et à lancer des appels d’offres sur les devises".

