En outre, le Quai d’Orsay a ajouté qu’il "fait tout ce qui est en son pouvoir pour que tous les otages, où qu’ils soient, soient libérés sains et saufs". Aqmi a revendiqué l’enlèvement, le 16 septembre au Niger, de cinq Français, un Togolais et un Malgache travaillant pour le groupe nucléaire français Areva et un de ses sous-traitants.
"Si vous voulez que vos citoyens gardés en otage soient en sécurité, vous devez rapidement retirer vos soldats d’Afghanistan pour une durée déterminez que vous annoncerez", dit le chef d’Aqmi dans l’enregistrement.
En octobre, Aqmi a proposé, selon la chaîne de télévision al Arabiya, de libérer les otages en échange de l’abrogation de l’interdiction du port du voile intégral, de la libération d’activistes et d’une rançon de 7 million euros.