"J’ai toujours condamné, de manière claire et ferme, le passé colonial de la France et des puissances européennes", déclare-t-il, en réponse à une question sur la nécessité ou non pour la France de présenter des excuses pour ses 132 ans d’occupation coloniale.
"Notre pays n’a rien à redouter de porter un regard lucide et authentique sur son histoire. La patrie des droits de l’homme en sortira grandie", ajoute l’ex-secrétaire général du PS, attendu mardi pour une visite de trois jours à Alger à l’invitation du Front de libération nationale (FLN).