"J’ai rompu mes discussions avec l’administration syrienne. Nous n’aurions jamais souhaité en arriver là mais malheureusement cette administration nous a poussés à prendre une telle décision", a dit Erdogan, cité par l’agence de presse "Anatolie".
Le chef du gouvernement turc, qui se trouve à New York pour prendre part aux travaux de l’Assemblée générale de l’ONU, a indiqué que son pays envisageait également des sanctions contre le régime de Bachar Al Assad.
Ankara engagera des discussions au sujet de ces sanctions avec Washington qui a déjà annoncé de telles mesures, a souligné Erdogan, ajoutant que son pays "ne faisait plus confiance à l’administration syrienne" quil a accusée de mener une campagne de dénigrement à l’encontre de la Turquie.