Homme d’affaires et petit-fils d’un ancien président syrien, il a déploré que le principal rassemblement de l’opposition syrienne à l’étranger ait "échoué à devenir une institution" et a déploré que la nouvelle assemblée générale du CNS, désignée lors d’une réunion au Qatar, soit dominée par des islamistes.
Chichakly regrette aussi qu’aucune femme ne siège plus parmi les 41 membres de cette assemblée générale. "Le Conseil n’a pas réussi à attirer d’importantes figures de l’opposition qui ont préféré pour des raisons évidentes se tenir à l’écart", écrit-il dans un communiqué diffusé à l’issue de la réunion de Doha.
