L’Association marocaine pour la protection de l’enfance et l’éveil de la conscience de la famille avait porté plainte le 27 août en dénonçant le sort des enfants dans le conflit syrien, en affirmant qu’ils pouvaient être utilisés comme boucliers humains par l’armée régulière et les miliciens alliés au régime de Bachar al-Assad, selon le texte de la plainte.
L’association mettait en avant un principe de "compétence universelle".Or dans les faits, ce grand principe a des limites, selon la source judiciaire.