"Entre 1930 et 1935, on a fait repartir 700.000 personnes" de France et "dans la même période, le chômage a doublé", a insisté l’eurodéputé. "Il n’y a pas de corrélation entre le nombre des immigrés et le chômage. C’est un mensonge", a-t-il dit.
Dans une interview au quotidien Le Monde qui lui demandait s’il envisageait plus de régularisations de sans-papiers que le gouvernement Fillon (30.000 par an) Manuel Valls a répondu : "non, je ne le crois pas. Aujourd’hui la situation économique et sociale ne permet pas d’accueillir et de régulariser autant que certains le voudraient".