"Elle est dangereuse parce qu’elle risque de nous diviser au moment où l’UMP devrait au contraire se rassembler pour faire son travail d’opposition, et d’autre part elle est inutile", a-t-il expliqué.
La présidentielle de 2017 "commence à hanter tous les esprits, or ce n’est pas du tout la question de ce jour", selon le maire de Bordeaux, qui a rappelé son souhait de primaires ouvertes en 2016, réaffirmant qu’"il n’en serait pas".
"La question d’aujourd’hui c’est d’abord de faire vivre une opposition constructive" mais "très vigilante à l’Assemblée nationale et au Sénat" et "deuxièmement, c’est de renforcer l’UMP", a préconisé l’ancien ministre.